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La Réserve de la biosphère du mont Saint-Hilaire

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Explorer Otterburn Park

  • Berge de la rivière Richelieu au soleil couchant, un homme est en train de pêcher, deux autres personnes sont au bord de l’eau
  • Wagons sur la voie ferroviaire au-dessus de la rivière Richelieu, quelques canards sont sur l’eau
  • Ancienne carte postale en noir et blanc avec six petites photographies des activités qui se déroulaient à l’époque, les inscriptions indiquent « Otterburn Park, St Hilaire P.Q., Colonel B.F Campbell proprietor »
  • Ancienne photographie en noir et blanc représentant des familles près des locations de canots sur les berges de la rivière Richelieu
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Photographie : Jean Claude Gagnon

Photographie : Frederick Brault

Photographie : Société d'histoire de Belœil-Mont-Saint-Hilaire

Photographie : Société d'histoire de Belœil-Mont-Saint-Hilaire

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Explorer Otterburn Park

Jadis poste amérindien de traite des fourrures et faisant partie de la paroisse de Saint-Hilaire, Otterburn Park s’en est détaché en devenant un parc d’attractions pour les employés du chemin de fer le « Grand Trunk ». Dès 1885, le parc Otterburn accueillait, chaque fin de semaine, des familles montréalaises venant profiter des terrains de jeux, kiosques à musique et pistes de danse. La rivière était aussi un vaste terrain de loisirs grâce au club de canotage. L’endroit sera nommé officiellement la municipalité d’Otterburn Park, dotée d’un territoire précis, distinct de celui de Saint-Hilaire en 1953. Otterburn Park est la seule municipalité de la Vallée du Richelieu qui porte un nom anglais. La municipalité qui était anglophone à l’origine s’est petit à petit francisée. Entre la rivière Richelieu et la montagne, Otterburn Park s’est urbanisé au fil des ans et a presque atteint la limite de son territoire offrant un milieu de vie naturel, champêtre et attrayant pour et par ses citoyens. Aujourd’hui, ils doivent décider de l’avenir des dernières terres agricoles.